Dans un communiqué publié aujourd’hui, jeudi, le Premier ministère a accusé des «mouvements tendancieux» de chercher à noyer l’activité syndicale inscrite dans la constitution algérienne afin de «semer la discorde».
La déclaration du premier ministère a appelé les travailleurs à faire la distinction «entre l’exercice de leurs droits syndicaux dévoués et l’expression de leurs revendications professionnelles «et entre ce que certains mouvements trompeurs font du marketing, qui ne veulent que saper les conditions et exploiter leurs conditions professionnelles et sociales à des fins suspectes».
dans sa réaction, le gouvernement a également tenu à rappeler « que l’exercice les droits syndicaux ne doit pas se faire au détriment les lois en vigueur, notamment en ce qui concerne le règlement les conflits collectifs au travail, par le réconciliation, le médiation et l’arbitrage … ainsi que l’exercice de droit à le grève, consacré par le loi n ° 91-27 ».
à ce propos, le premier ministère ajoute qu’en cas d’échec de ces mécanismes ou l’impossibilité de dialogue, le grève peut être invoquée dans le plein respect les conditions fixées par le loi ». il s’agit, selon le même source de « le nécessité de convoquer une assemblée générale les travailleurs afin de prendre le décision après un vote secret, avec l’obligation d’aviser les salariés dans un délais d’au moins huit jours ».
Sur la même lancée, le gouvernement a ajouté que « les deux dernières décennies sous le régime de la Issaba on connu l’émergence de mauvaises pratiques qui s’écartaient de cadre de le revendication légitime les droits dans le logique de l’illégalité, négligeant les exigences de maintien de fonctionnement les équipements publics, le pérennité de service public, et le protection de l’économie nationale et les outils de production ».
Ahmed Achour