Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, s’est exprimé, dimanche soir, l’affaire du journaliste Khaled Drareni.
Lors d’une entrevue accordée aux responsables de certains médias nationaux, le chef de l’Eat a affirmé que le journaliste condamné à 2 ans de prison ferme « est impliqué dans une affaire n’ayant aucune relation avec la presse », ajoutant qu’il « n’existe aucun document prouvant sa relation avec la chaine de télévision qu’il prétend travailler avec ».
A ce propos, M.Tebboune, a souligné que « s’il existe une restriction, elle est imposée aux injures ». De ce fait, il a estimé que les rapports présentés par certaines organisations « n’ont aucun impact sur la politique adoptée en Algérie».
Pour le chef de l’Etat la liberté d’expression est déjà consacrée. « Aucune personne n’est incarcérée (en Algérie) pour un article qu’elle a rédigé », a-t-il dit, en soulignant que « les injures et les atteintes aux affaires relevant de la sécurité de l’Etat sont interdites ».
L’Algérie est « ciblée » par des parties qui tentent de saper sa stabilité, a-t-il poursuivi, faisant savoir que « les Etats ne nous attaquent pas frontalement mais chargent des organisations non gouvernementales de cette mission ».
- Rédaction