الخميس 21 أوت 2025

Des mercenaires de l’extrême droite française trébuchent dans une conspiration pathétique contre l’Algérie

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By: Dzair tube
Des mercenaires de l’extrême droite française trébuchent dans une conspiration pathétique contre l’Algérie

Au cœur d’un été algérien serein, tandis que le peuple algérien s’enorgueillit de la tranquillité et de la stabilité, les mercenaires de l’extrême droite française refusent d’abandonner leurs obsessions rances. Depuis les bas-fonds de Paris, ils se lancent dans une énième campagne de désinformation pitoyable, armée uniquement de mensonges, de haine et de propagande numérique. Ces naufragés, dénués de crédibilité et de vision, mobilisent leurs caisses de résonance habituelles sur les réseaux sociaux, tentant désespérément de fabriquer une crise, de raviver les fantômes de mouvements longtemps rejetés par le peuple algérien et de manipuler l’opinion publique avec des mensonges enrobés d’une rhétorique théâtrale.

Le dernier épisode de ce théâtre sordide coïncide avec la sortie d’un livre grotesque de l’ancien ambassadeur de France Xavier Driencourt. Sous couvert d’effort intellectuel, ce livre est en réalité un pamphlet venimeux – un récit déformé des relations algéro-françaises destiné à enhardir les agitateurs en ligne et leur prétendu « retour du Hirak », mené par des opportunistes du parti interdit « Rachad » et du groupe terroriste « MAK ».

Les Algériens, cependant, ne sont ni naïfs ni inconscients. Comme l’ont déjà révélé des médias nationaux comme El Moudjahid, ces campagnes sont orchestrées depuis l’étranger, alimentées par les services de renseignement français qui sous-traitent leur sale besogne à des pseudo-journalistes et des YouTubeurs en exil tombés en disgrâce. Leur mission est transparente : déstabiliser l’Algérie par le chaos, de faux scandales et des campagnes de diffamation ciblées contre les institutions et les responsables de l’État.

Un à un, les visages derrière cette campagne ont été démasqués : des hommes amers, rongés par le ressentiment après leurs propres échecs politiques ou professionnels. Du charlatan Mohamed Sifaoui, qui revendique ouvertement des alliances tactiques pour renverser l’État algérien, au déchu Abdelrahmane « Abdou » Semmar, qui se fait passer pour un journaliste d’investigation tout en étant surpris à mendier des miettes auprès de financiers corrompus, la distribution est aussi risible qu’ignoble. Leurs prétendues « révélations » ne sont rien d’autre que des calomnies, des griefs recyclés et des accusations sans fondement contre des ministres qui consacrent leur vie au service public.

Pourtant, la farce se défait rapidement. De récentes fuites ont révélé les liens serviles entre ces voix autoproclamées indépendantes et leurs soutiens criminels, des oligarques en fuite aux magnats emprisonnés comme Tahkout. Leurs attaques virulentes contre le ministre algérien de la Communication, le Dr Mohamed Meziane, s’apparentent davantage à des vendettas personnelles qu’à une véritable quête de vérité. Pathétiquement, ils déforment les chronologies et les faits, ignorant la logique élémentaire dans leur course aveugle au dénigrement.

Le verdict est sans appel : ces mercenaires ont échoué, une fois de plus. Leur venin n’a aucun effet sur une société immunisée par l’histoire contre les manipulations étrangères. L’Algérie, fermement ancrée dans sa souveraineté et sa résilience, est insensible à leurs mensonges. Le peuple connaît trop bien l’odeur nauséabonde de la trahison et reconnaît les cris désespérés de ceux qui ont bradé leur dignité pour quelques euros.

En fin de compte, ces soi-disant opposants ne représentent ni un mouvement, ni un peuple, ni une vision. Ils ne représentent qu’eux-mêmes : pions déshonorés d’agendas étrangers, hurlant dans le vide de l’insignifiance. Pendant ce temps, l’Algérie avance, imperturbable, laissant ces mercenaires se noyer dans la crasse de leurs propres mensonges.

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