الجمعة 23 ماي 2025

Des sources révèlent à Dzair Tube comment Mohammed ben Zayed s’est débarrassé de ses frères et rivaux pour s’emparer du pouvoir aux Émirats arabes unis

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By: Ahmed achour
Des sources révèlent à Dzair Tube  comment Mohammed ben Zayed s’est débarrassé de ses frères et rivaux pour s’emparer du pouvoir aux Émirats arabes unis

Mohamed Ben Zayed, le diable arabe qui est nourri de la haine envers l’Algérie, qui est monté au pouvoir sur les cadavres de ses frères et de ses adversaires. Une ascension sanglante qui ne siait qu’à un homme mu par ses obsessions, sa loyauté envers l’Occident et le Zionisme.

Dès l’instant où les yeux du Zionisme et de l’Occident ont commencé à se tourner vers le golfe persique, Mohamed Ben Zayed était le choix idéal. Une ambition sans limite, n’hésitant pas à écraser ses plus proches. Il est bsédé par le pouvoir au point de faire de la trahison son premier moyen.

Il n’était pas l’héritier direct du trône, ni classé premier dans l’ordre de succession de son père Zayed. Mais il était le plus dangereux et le plus rusé.

Depuis que Khalifa a accédé au pouvoir en 2004, une série d’incidents mystérieux a commencé, éliminant ses frères les plus puissants, qui constituait un obstacle direct à l’ambition de Mohamed Ben Zayed pour un contrôle absolu.

Le premier fut Nasser Ben Zayed al-Nhayan, décédé en juin 2008, dans un mystérieux accident d’hélicoptère au-dessus des eaux du golfe persique, près des côtes de l’Émirat d’Abou Dhabi.

Les détails de l’accident n’ont pas été révélés et aucune véritable enquête n’a été ouverte, malgré qu’il fut le commandant de la garde spéciale et qu’il possédait une grande influence sécuritaire.

Puis vint le tour d’Ahmed Ben Zayed, directeur général de l’autorité d’investissement d’Abou Dhabi, l’un des plus grands fonds souverains du monde.

En mars 2010, son ULM s’est écrasé dans le lac du barrage Sidi Mohamed Ben Abdelah, près de la capitale marocaine, Rabat.

Son corps a été retrouvé plusieurs jours après sa disparition, dans le plus grand secret.

Ahmed était considéré comme un jeune visage économique, puissant et doté de relations internationales influentes, et peut-être le remplaçant idéal aux yeux de son père.

Quant au troisième, il s’agissait de sultan Ben Zayed, dont le décès a été annoncé en novembre 2019 pour des raisons naturelles, bien qu’il ne souffrait pas de maladies chroniques déclarées et qu’il était toujours actif dans la vie politique du pays.

L’étrange est que son décès est survenu à un moment où l’influence était redéfinie au sein de la famille, spécifiquement entre les fils de Zayed, issus d’épouses autres que Fatima Bint Mubarak.

Ainsi les trois ont disparu à des moments sensibles, dans des circonstances mystérieuses, tandis que Mohamed Ben Zayed resserrait son emprise sur le pouvoir, pas à pas, sans que personne ne s’y oppose.

Et lorsque Khalifa a été victime d’un AVC en 2014, Mohamed a saisi l’instant. Il a retiré les pouvoirs de son frère sans l’annoncer et a dirigé l’État en coulisse, calmement et méthodiquement, jusqu’à ce que l’année 2022 arrive et qu’il se déclare officiellement le souverain de facto.

Mais l’ambition ne s’arrête pas au pouvoir. Il a alors nommé son fils Khalid prince héritier, écartant ainsi ses frères puissants, Tahnoun, Mansour et Abdullah. Ceux qui détiennent les clés de l’économie, du renseignement et de la sécurité, se retrouvent soudainement hors du cercle décisionnel, ce qui laisse présager un nouveau conflit à venir au sein même de la maison du pouvoir.

L’ascension de Mohamed Ben Zayed n’a pas été une simple transition de pouvoir, mais un plan sanglant, exécuté avec une intelligence froide et un soutien sionniste manifeste. Et avec toute cette destruction que le diable arabe a causé en Libye et au Soudan, et son soutien financier et armé à l’agression marocaine contre les Sahraouis, et son implication avec les Putschistes au Mali, le voilà aujourd’hui qui le déclare explicitement et révèle ses intentions envers l’Algérie.

Mais quel que soit ses convoitises et ses calculs politiques, ce que le diable arabe ignore, c’est que l’Algérie n’est pas ce qu’il pense, sa chair est amère, elle n’est pas consommée par les traîtres, et les ennemis ne la piétinent pas sans en payer le prix.

L’Algérie qui a vaincu les régimes coloniaux les plus puissants ne sera pas une proie facile pour un régime dont la taille ne dépasse pas celle de la plus petite willaya d’Algérie. Et tant que vous avez été les premiers à fauter, oeil pour oeil, dent pour dent, et l’agresseur est le plus injuste. Et maintenant, il est temps de révéler votre linge sale.

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