samedi, 13 septembre, 2025

Maamar Gani répond aux mensonges du traître Abdou Semmar : journaliste libre et patriote, pas esclave du Makhen, du sionisme ni de l’extrême droite française

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By: Maamar Gani
Maamar Gani répond aux mensonges du traître Abdou Semmar : journaliste libre et patriote, pas esclave du Makhen, du sionisme ni de l’extrême droite française

Par : Maamar Gani

Cela ne m’étonne pas qu’Abdou Sammar s’en prenne à moi ; il a l’habitude de bâtir sa « carrière » sur l’atteinte aux personnes, la calomnie, la désinformation et les commérages, non sur un travail journalistique intègre. Le plus risible, c’est qu’il est incapable de trouver une accusation réelle à mon encontre ; il en vient donc à se moquer de ma situation sociale d’avant mes débuts dans les médias et de mon amour pour la langue arabe, comme s’il s’agit de deux crimes !

Toi, Semmar le mercenaire, je suis fier d’être « arabo-phone » comme tu t’efforces d’en faire une insulte. L’arabe est la langue du peuple algérien et de son identité civilisationnelle ; c’est la langue de ce pays que nous portons dans nos cœurs. Et je suis aussi fier d’avoir appris l’anglais et de chercher aujourd’hui à le parler couramment. Je ne suis pas complexé, je ne me sens pas inférieur ; j’estime que l’apprentissage est un honneur et que la volonté est une arme. C’est cette volonté de fer qui m’a permis de fonder « Dzair Tube » et de la conduire jusqu’à en faire une citadelle médiatique nationale qui t’a terrifié et affolé, et tu le sais mieux que quiconque.

J’ai étudié à la Faculté des sciences de l’information, je me suis formé auprès de professeurs éminents, j’ai effectué des stages très tôt et j’ai écrit mes premiers articles pour la presse nationale à dix-neuf ans. J’ai travaillé et je travaille toujours dans de véritables salles de rédaction ; j’ai voyagé dans de nombreux pays ; tout cela a renforcé ma constance professionnelle. Toi, Abdou, tu n’as connu du journalisme que l’appointement et l’ascension sur le dos d’autrui.

Tu te moques de mes débuts en affirmant que je n’avais pas même l’argent d’un sandwich ? Oui, j’étais modeste et je le suis encore ; ce n’est pas une accusation, c’est une médaille d’honneur. Se bâtir soi-même à la sueur de son front est mille fois plus noble que de vivre du chantage et de l’appointement au prix de la trahison de la patrie. La pauvreté n’est pas une honte ; ce qui est honteux, c’est la bassesse, l’appointement et la servitude intellectuelle.

J’ai été officier de police et j’ai sacrifié mon poste en affrontant un général injuste ; je suis parti de la force publique la tête haute après avoir confronté l’ancien directeur général de la sûreté nationale, Abdelghani Hamel, à l’époque de la « Issaba». Lorsque j’ai révélé une affaire de corruption mettant en danger la santé du citoyen — le recyclage des déchets médicaux transformés en gobelets en plastique — Hamel m’a convoqué et m’a demandé : « Qui est derrière toi ? » ; je lui ai répondu : « Muraaya el-hayt » (« le mur est derrière moi »). Je suis sorti intègre et droit. Toi, tu quémandais auprès de l’homme d’affaires Tahkout pour qu’il te récupère ton permis de conduire auprès du plus humble des policiers ! La police que tu méprises est mille fois plus honorable que toi et tes pareils.

Il existe des enregistrements disponibles sur YouTube qui montrent et confirment comment tu étais esclave et serviteur obéissant de Tahkout, aujourd’hui détenu à la prison de Harrach, du ministre en fuite Abdeslam Bouchouareb, et de l’ancien PDG de Sonatrach Abdelmoumene Ould Kaddour, lui aussi incarcéré. Tu n’étais qu’un mercenaire et un pion payé par ceux qui te versaient de l’argent. Les faits le démontrent à qui veut ouvrir les yeux.

Je ne suis l’esclave d’aucun homme d’argent sale, et je n’ai jamais eu recours à tes méthodes abjectes pour nuire aux gens. Je suis un journaliste autodidacte ; je me suis appuyé sur mon travail, ma plume et mon amour pour l’Algérie, tandis que toi tu n’as vu le journalisme que comme une échelle pour mendier et te vendre.

Je suis aussi connu au Maroc pour mon hostilité envers le « makhzen » et mes positions constantes contre son régime ; toi, au contraire, tu y es considéré comme un héros, un homme de service. Voilà la différence : moi, je me tiens face aux ennemis de l’Algérie ; toi, tu trouves force et protection auprès d’eux.

Et bien que je n’aie jamais rencontré le directeur de la communication et de l’orientation des états-majors de l’Armée nationale populaire, je suis fier des efforts que cet homme patriote déploie à la tête de la direction qu’il dirige, et de ce qu’il apporte au service de l’institution militaire et de l’Algérie en matière de communication et d’information. Je suis honoré d’être la cible des attaques des haineux précisément parce que j’ai mis ma plume au service de l’Armée nationale populaire. Et cela, en soi, est la plus grande preuve que je supporte, avec ma plume, ce que supportent nos vaillants soldats dans la lutte contre le terrorisme et les traîtres, et dans la défense de l’intégrité territoriale. Ainsi, je suis un soldat aux côtés de cette grande armée, même si mon arme est une plume.

Quant à ta lamentable tentative de salir ma réputation, elle n’est que le reflet de ta haine envers « Dzair Tube ». Tu sais fort bien que le site t’a terrifié, ainsi que d’autres traîtres et mercenaires ennemis de la patrie, même lorsque tu étais ici en Algérie, le jour où tu as supplié un journaliste de supprimer pour toi un article qui te démasquait — à cause de ton appartenance supposée à la communauté LGBT et des déviances ? —. Et aujourd’hui tu poursuis ta campagne, mais tu n’auras pas gain de cause.

Il n’est pas surprenant non plus que tes mensonges s’étendent à mes confrères, à commencer par le journaliste intègre et respectable Rafik Chelghoum, homme patriote jusqu’au bout et reconnu pour son professionnalisme et ses compétences, qui a interviewé le président de la République et de nombreuses personnalités de premier plan, démontrant une grande capacité dans le journalisme professionnel. Son site, « Algérie-Maintenant», est réputé pour ses analyses politiques solides et mesurées ; j’ai l’honneur d’être son ami. Toi, tu ne le connais même pas pour oser proférer de telles calomnies à son encontre.

Semmar, tu peux inventer des mensonges et répandre des insultes autant que tu veux, mais tu ne changeras pas la vérité : je suis un journaliste libre et patriotique, un homme pieux et respectueux, un Arabe-Algérien, un lecteur avide, un intellectuel qui se construit chaque jour par le savoir et la connaissance, et je suis fier de chaque pas que j’ai franchi au service de ma patrie.

Tu peux m’attaquer comme bon te semble, mais à chaque flèche lancée, je deviens plus convaincu que je suis sur le bon chemin : le chemin de la Nation, le chemin de la vérité, le chemin de l’Algérie que j’aime — autant que toi, traître vendu aux ennemis, tu la trahis.

Dzair Tube : un accomplissement et un héritage médiatique — la suite d’un parcours, pas un simple site

J’ai fondé le groupe « Dzair Tube » parce que les médias avaient besoin de défenseurs à l’intérieur du pays, non d’instruments au service d’agendas extérieurs. Ce qui a commencé comme un projet de jeunes est devenu aujourd’hui une institution médiatique intégrée : un site qui a pris la première place parmi les sites électroniques grâce à un contenu riche et diversifié — informations exclusives, reportages en temps réel, entretiens de haut niveau, mélange local, national et international — diffusé en trois langues : arabe, français et anglais. Le site réalise quotidiennement plus d’un demi-million de clics ; c’est la preuve de l’engagement du public et de son besoin d’un média national sincère.

Le groupe « Dzair Tube » ne s’est pas limité au numérique : il a remporté le Prix du Président de la République pour le journaliste professionnel dans la catégorie de la presse électronique le 22 octobre 2022, obtenu le prix de la « Pionnerie médiatique » et a été couronné par le prix « Hilal Television » en tant que première chaîne numérique nationale. Ces distinctions sont le fruit d’un travail d’équipe et constituent un capital de confiance face aux médias hostiles.

Sur YouTube, nos chaînes enregistrent plus de 500 000 abonnés, et notre page officielle Facebook compte plus de 5,7 millions d’abonnés, en plus d’une présence croissante sur TikTok, Telegram, X, Instagram et LinkedIn. La chaîne numérique « Dzair Tube » produit des émissions d’actualité, sportives, de divertissement, culturelles et religieuses qui cumulent des dizaines de millions de vues ; elle dispose de studios professionnels et d’équipements techniques de haut niveau, produit des reportages promotionnels, des spots publicitaires et des programmes très regardés.

Le journal papier « Dzair Sport » du groupe réalise des chiffres quotidiens remarquables via son téléchargement sur le site officiel, avec plus de 50 000 téléchargements par jour. Ainsi, nous n’offrons pas seulement une information, nous formons des journalistes : « Dzair Tube » emploie une équipe jeune de plus de quarante personnes et a formé des dizaines de journalistes porteurs des valeurs de professionnalisme et de patriotisme.

Tout cela n’est pas pour se vanter, mais pour affirmer une réalité : une institution médiatique nationale dédiée à une seule mission — défendre l’Algérie et ses institutions, démasquer ses ennemis, les mercenaires et les traîtres. Nous mettons toutes nos ressources médiatiques et l’effort de notre jeune équipe au service de la détection des complots contre le pays, à l’intérieur et à l’extérieur, par la parole écrite, la parole enregistrée et l’image diffusée. C’est notre devoir ; nous l’accomplissons avec proximité et sérieux, prêts à fournir davantage.

Abdou Semmar… du porte-voix du makhzen à la marionnette du Mossad

Parlons un peu du « soi-disant journaliste » Abdou Semmar, qui se présente comme un reporter d’investigation alors qu’en réalité sa seule spécialité est la flatterie payée.

Le site « Algérie Part »… un journal jaune vendu en gros

Il prétend que son site est une tribune libre ; la vérité est qu’il n’est qu’un « bazar médiatique ». Plus tu payes, plus tu parais ; tu payes moins, plus il t’attaque. Un site géré depuis la France par sa seconde épouse « la directrice exécutive », avec la participation de Samir Lounes, qui est passé de traducteur pour « Amir DZ » à rédacteur de rapports fabriqués à la demande. En somme : une plateforme à louer, pas un média.

De serviteur de Tahkout à pion chez Oueld Kaddour

Qui consulte tes archives voit clairement que tu n’étais que le « secrétaire médiatique » de Tahkout, « correspondant sur commande » pour Oueld Kaddour, et « rédacteur d’articles publicitaires » pour Bouchouareb. Ils payaient ; tu écrivais, tu acclamaient et tu maudissais ceux qu’on te demandait de maudire. Aucune relation avec le journalisme : seulement une relation avec celui qui te paie pour trahir.

Le makhzen marocain… la première étape de l’asservissement

Tu t’es exhibé sur les chaînes françaises reprenant la version du makhzen sur le Sahara occidental comme si tu étais le porte-parole officiel du ministère des Affaires étrangères marocain. Ce n’était pas une conviction, mais un contrat : entre toi et ceux qui voulaient faire de toi un « porte-voix régional en échange d’un salaire mensuel ».

Du makhzen au Mossad… la promotion suprême de la trahison

Quand le makhzen s’est lassé de toi, le Mossad t’a « récupéré ». Tu as fait une apparition sur la chaîne i24 News sioniste comme si tu trouvais là ta destinée : une chaîne qui paie en devises fortes pour salir l’Algérie et attaquer sa position sur la Palestine. C’était le pire contrat de ta vie : tu n’as pas seulement vendu ton pays, tu as vendu ta dignité.

La propagande pitoyable

Malgré tout ce vacarme, les Algériens ne t’ont jamais pris au sérieux. Tu es devenu une plaisanterie, matière à moquerie, symbole du journaliste qui s’est vendu sur le marché de l’appointement. À l’intérieur, personne ne t’écoute ; à l’extérieur, on t’utilise comme figurant et ensuite on te jette aux oubliettes quand la scène est finie.

Abdou Semmar, quelle que soit la force de tes cris, tu resteras un « serviteur » qui a circulé entre les tables de Tahkout, Bouchouareb et Oueld Kaddour, pour finalement prendre place sur la table du Mossad.
Abdou, tu as tout perdu : la patrie, la crédibilité, le respect — peut-être même le prix de ta dignité. Quant à moi, plus tu m’attaques, plus je m’obstine : j’écris à l’encre de la patrie et j’érige un édifice médiatique pur nommé « Dzair Tube » ; c’est une tribune nationale au service du peuple.
La différence entre nous est nette : moi, j’écris pour l’Algérie ; toi, tu écris pour celui qui paie le plus… même si c’est l’ennemi lui-même.

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