Mohamed Sifaoui : Du sol algérien à l’espionnage étranger .. Une histoire de trahison et de subversion

Une enquête exclusive de Dzair Tube dévoile le sombre parcours du journaliste devenu informateur Mohamed Sifaoui, accusé de trahison, d’espionnage et de collaboration avec des services de renseignement étrangers contre son pays natal, l’Algérie.

Dans une révélation troublante qui soulève de graves questions sur la sécurité nationale et l’intégrité des médias, Dzair Tube a obtenu des informations exclusives et hautement sensibles détaillant le parcours clandestin de Mohamed Sifaoui, ancien citoyen algérien aujourd’hui accusé de trahison, d’espionnage et de collaboration avec des entités étrangères hostiles.

Selon des sources confidentielles, Sifaoui, devenu journaliste au début des années 2000, a mené une double vie qui l’a finalement conduit à quitter l’Algérie pour les services de renseignement intérieur français, travaillant sous leurs ordres tout en conservant une image publique de reporter et d’analyste.

Son ascension vers la trahison a commencé en Tunisie, sous le régime de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali, où il a épousé une Tunisienne. Par son intermédiaire, Sifaoui a été présenté à Béchir Ben Yahmed, le fondateur controversé du magazine Jeune Afrique. Cette rencontre a marqué un tournant décisif, puisque Sifaoui a ensuite été nommé directeur du bureau d’Alger du magazine – un poste stratégique qui aurait servi de couverture à ses activités de renseignement secret.

À l’époque, Sifaoui était intégré au service de sécurité intérieure de l’ambassade de France à Alger, un rôle qui lui conférait un accès et une influence sensibles. Confronté à des difficultés financières, il a demandé l’asile politique en France et s’est rapidement intégré aux cercles de l’élite parisienne, se liant étroitement à l’ambassadeur de France Bernard Émié et au chanteur sioniste Enrico Macias.

La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a affecté Sifaoui à des missions au Pakistan et en Afghanistan, puis l’a infiltré à la Grande Mosquée de Paris pour surveiller les fidèles musulmans – une initiative largement considérée comme un acte de subversion religieuse et culturelle.

Suite à une visite dans l’entité sioniste, où il a rencontré un certain Rabin, Sifaoui a opéré une transformation personnelle. Il a adopté un nouveau programme de conditionnement physique de type militaire, d’agissant d’un combat de l’armée sioniste appelé « Krav Maga ». Ensuite, il a. intensifié ses efforts contre l’Algérie, passant de l’espionnage secret à des campagnes médiatiques ouvertes visant à discréditer les institutions, le leadership et la cohésion sociale algériens.

Ces dernières années, Sifaoui est devenu l’une des figures les plus actives des médias français, diffusant des discours anti-algériens, reprenant souvent la rhétorique d’agences de renseignement hostiles. Ses écrits et ses apparitions télévisées ont de plus en plus rejoint les objectifs stratégiques de l’État profond français, notamment lors des tensions diplomatiques entre Alger et Paris.

Les sources du renseignement algérien, qualifiées de « faucons » par Dzair Tube, sont pleinement conscientes des stratégies subversives orchestrées par des agents comme Sifaoui et restent déterminées à défendre la souveraineté nationale. Ces sources soulignent que l’Algérie répondra avec détermination à toute trahison ou collusion avec des entités cherchant à porter atteinte à la stabilité et à la dignité du pays.