الجمعة 01 أوت 2025

Oui, et malgré le déni des négationnistes, la société civile connaît son âge d’or sous le président Tebboune, comme en témoignent les faits

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By: Ahmed achour
Oui, et malgré le déni des négationnistes, la société civile connaît son âge d’or sous le président Tebboune, comme en témoignent les faits

Le problème de certains sites d’actualité, qui prétendent adopter une approche critique, n’est plus de voir le verre à moitié vide et de ne pas voir – ou même d’ignorer – le verre à moitié plein. Le problème réside plutôt dans leur journalisme aveugle et noir, dont le but est de déformer les faits et de falsifier les réalités.

Ce « journalisme noir » prétend être constructif et craindre pour les intérêts de la nation face à « la corruption et la tyrannie », mais il pratique quelque chose d’encore plus horrible que tout ce contre quoi il met en garde et prétend s’attaquer. Il obscurcit l’horizon de ses ténèbres et ferme toute fenêtre par laquelle le soleil de la vérité pourrait briller. C’est ce que fait un journal en ligne comme Maghreb émergent dans sa tentative pathétique de diaboliser le travail associatif en Algérie et de nier le saut qualitatif réalisé par la société civile sous la présidence d’Abdelmadjid Tebboune.

Ce journal partial a publié un article dans lequel son auteur a tenté de ridiculiser et de tourner en dérision la description précise donnée par Ibtissem Hamlaoui, directrice de l’Observatoire national de la société civile, de la période traversée par ce secteur stratégique et important pour la construction de la nation et le progrès de ses populations. Elle l’a qualifiée d’« âge d’or ».

Ce site web, connu pour sa politique médiatique hostile à l’État algérien et son alignement sur le programme du régime du Makhzen visant à saper la stabilité de l’Algérie et à dénaturer son image auprès de l’opinion publique locale et internationale, a tenté, dans son article ignoble, de saper le système de la « société civile » et de discréditer ses acquis. Il a cité plusieurs affaires actuellement jugées par la justice algérienne et a tenté de les qualifier de « violations des droits humains ».

L’auteur de cet article trompeur et mensonger se rend-il compte que la société civile est aujourd’hui devenue un pilier fondamental du processus de construction d’une nouvelle Algérie ? Outre son rôle important dans le renforcement de la conscience collective, la préservation de la cohésion nationale et le soutien aux efforts de l’État aux niveaux national et local, l’auteur a posé la question suivante : « Quand cet âge d’or commence-t-il réellement ?» Notre réponse est que cette ère a débuté avec l’accession au pouvoir du président Tebboune en Algérie. Nous vous demandons simplement de considérer les réalisations et les acquis avec un regard critique et non sur des idées reçues.

Le président Abdelmadjid Tebboune a accordé une grande importance à ce rôle en consacrant le statut de la société civile dans la Constitution de 2020 et en l’intégrant au cadre politique du pays dans le cadre de la démocratie participative.

Oui, dès le début de son mandat, le président Tebboune a imaginé une société civile sur laquelle l’Algérie peut compter aujourd’hui. Cette vision s’appuie sur des compétences efficaces, notamment la jeunesse, pour relever les nombreux défis et poursuivre la construction nationale avec un esprit collectif et un sens des responsabilités qui caractérisent son rôle historique.

Le Président de la République a créé un organe consultatif, l’Observatoire national de la société civile, chargé de faciliter la création d’associations. L’Observatoire a également lancé une initiative, le Forum national de la société civile, un cadre de dialogue, de concertation, de citoyenneté et de développement local, visant à renforcer la participation de la société civile à la vie publique et à proposer des solutions aux défis locaux.

Le forum vise également à activer le rôle de la société civile dans le développement local, à renforcer les partenariats entre la société civile et les pouvoirs publics, à renforcer la capacité de la société civile à contribuer à la résolution des problèmes locaux et à contribuer à la construction d’une société civile forte et efficace, contribuant ainsi au développement durable.

Considérant que la participation favorise le sentiment d’appartenance, l’Observatoire contribue à consolider les valeurs de citoyenneté par le biais de mécanismes de démocratie participative et par l’engagement des citoyens dans les affaires publiques, élément essentiel de la bonne gouvernance. Cela est particulièrement vrai au niveau local, où les citoyens sont impliqués à toutes les phases des projets locaux, du suivi à la participation à la gestion et à la reddition de comptes.

La société civile algérienne a réalisé des progrès significatifs, notamment dans le domaine de la défense des droits humains et de la promotion de la citoyenneté. Le paysage associatif algérien se caractérise par une diversité d’acteurs, allant des organisations de défense des droits humains aux associations culturelles et aux mouvements de jeunesse.

L’Observatoire national de la société civile œuvre à soutenir l’autonomisation financière et organisationnelle, à renforcer les acteurs de la société civile, à les sensibiliser et à les éduquer pour accroître leur impact, notamment grâce au développement des technologies de l’information et de la communication, qui leur a permis de renforcer leur présence en ligne, de communiquer plus facilement avec les citoyens et de mobiliser des soutiens.

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