Tahnoun ben Zayed, conseiller à la sécurité nationale des Émirats arabes unis, accusé d’avoir fomenté l’instabilité dans le monde arabe et africain

Des sources fiables révèlent une stratégie accablante du conseiller à la sécurité nationale d’Abou Dhabi, Tahnoun ben Zayed, visant à attiser les conflits régionaux, à blanchir les crimes de guerre au Soudan et à manipuler l’opinion publique par le biais de campagnes de propagande et de cyberinfluence.
Alger, Algérie | 7 mai 2025 — Selon des informations exclusives obtenues par Dzair Tube auprès de sources hautement crédibles, le conseiller à la sécurité nationale des Émirats arabes unis, Cheikh Tahnoun ben Zayed Al Nahyan, également surnommé par les initiés « l’Architecte du chaos », a été impliqué dans l’orchestration de campagnes de déstabilisation systématiques dans les mondes arabe, islamique et africain. Tahnoun, frère influent du dirigeant émirati Mohamed ben Zayed, supervise de vastes opérations financières s’élevant à des milliards de dollars, qui servent à armer des chefs de guerre, à financer des mercenaires et à semer la discorde dans des pays ciblés par la manipulation du régime ou le contrôle économique.
Présentant des préoccupations humanitaires, la stratégie de Tahnoun repose largement sur la manipulation des discours publics. Un compte d’initié vérifié, partagé sur la plateforme X (anciennement Twitter) par le pseudonyme « UAE Shadow Minister », révèle que le bureau stratégique des médias des Émirats arabes unis, sous la supervision directe de Tahnoun, a récemment lancé une campagne de propagande agressive visant à sauver sa réputation face au ressentiment croissant de l’opinion publique. Cette campagne vise à recadrer les actions des Émirats arabes unis par un discours trompeur de générosité et de consolidation de la paix, mettant notamment l’accent sur les efforts d’« aide humanitaire » dans des zones de conflit comme l’Afrique et la Palestine, tout en blanchissant ses ingérences militaires et politiques secrètes.
Le Soudan, actuellement en proie à un conflit civil brutal, est devenu le centre de cette manipulation. Des fuites de renseignements révèlent le soutien de longue date de Tahnoun aux tristement célèbres Forces de soutien rapide (FSR), dirigées par Mohamed Hamdan Dagalo, alias Hemetti. Cette milice a été largement accusée d’avoir commis des atrocités et d’avoir porté atteinte à l’État soudanais. Afin d’éviter toute surveillance internationale, notamment les enquêtes pour crimes de guerre menées par la Cour pénale internationale (CPI), les Émirats arabes unis se sont lancés dans une opération de blanchiment d’image à multiples facettes. Celle-ci comprend notamment la mise en scène de vidéos mettant en scène des membres des FSR se présentant comme des nationalistes et des combattants de la liberté soutenant la cause palestinienne – une tentative manifeste d’exploiter des symboles chargés d’émotion pour gagner la sympathie régionale.
La campagne implique également la mobilisation d’influenceurs sur les réseaux sociaux, dont beaucoup étaient auparavant perçus comme des voix neutres, afin de créer une façade de soutien populaire aux politiques émiraties. Ces influenceurs sont chargés de diffuser un message soigneusement élaboré selon lequel les critiques des Émirats arabes unis ne sont motivées que par l’envie de leur prétendu succès, transformant ainsi la condamnation généralisée en une hostilité infondée.
Parallèlement, à l’échelle internationale, les Émirats arabes unis, sous la direction de Tahnoun, ont fait appel à une agence de relations publiques britannique pour publier des rapports présentant les Émirats comme un « médiateur de paix » au Soudan. Ces efforts de communication sont coordonnés avec des démarches diplomatiques impliquant le gouvernement britannique, facilitées par le lobby sioniste, dans le but d’intégrer les Émirats arabes unis dans des processus de paix dont l’armée soudanaise et les acteurs gouvernementaux légitimes sont ostensiblement exclus. Cette stratégie vise à neutraliser l’action en justice du Soudan contre les Émirats arabes unis devant la Cour internationale de justice en manipulant l’opinion publique occidentale et le discours international.
Point crucial, Tahnoun est également accusé d’avoir été le principal architecte de la coordination des services de sécurité et de renseignement entre Abou Dhabi et l’entité sioniste. Il dirige une alliance clandestine visant à affaiblir tous les pays et mouvements qui rejettent la normalisation et s’opposent aux prétendus accords d’Abraham. En alignant les intérêts émiratis sur ceux de l’entité sioniste, Tahnoun non seulement renforce l’influence étrangère dans la région, mais déstabilise également les souverainetés nationales sous couvert de « contre-terrorisme » et de « coopération économique ».