Le procureur de la République près le tribunal de Koléa a rendu, ce lundi 30 novembre, son réquisitoire, dans l’affaire de Karim Tabou porte-parole officiel de l’Union démocratique et sociale (UDS, non agréé).
Une peine de trois ans de prison ferme, assortie d’une amende de 100.000 DA a été requise contre Karim Tabou. Le parquet a également demandé de saisir tous les objets confisqués du prévenu.
Ce procès a été renvoyé sept fois consécutives. Le juge près la juridiction de Koléa avait décidé de le reporter en dates du 6 et 27 avril dernier , 1 Juin , 29 Juin , 14 Septembre, 26 octobre et le 16 Novembre dernier.
Cette affaire remonte à son arrestation le 11 septembre 2019, où il a été poursuivi pour « atteinte au moral de l’armée ».
Le 25 septembre, la chambre d’accusation de la Cour de Tipasa a ordonné sa mise en liberté et son placement sous contrôle judiciaire.
- Rédaction